histoire 4: florence et ma vistoire

histoire 4: florence et ma vistoireComme je l?ai déjà dit Gérard est divorcé. L?autre jour, de manière un peu déplacée, il a tenu à me montrer des photos de Florence, son ex.Nous étions dans son living, dans le divan. Les photos ont commencé à défiler sur l?écran géant de la télé. Comme j?étais quand même chez lui pour autre chose qu?une conférence des alcooliques anonymes, ma tenue était « simplifiée ». Il m?a montré Florence (elle aurait pu s?appeler Martine) à la montagne, à la ville, à la campagne. Il est arrivé à Florence à la plage, en bikini, en monokini. Il m?a demandé s?il pouvait me filmer pendant que je regardais. J?ai dit oui. Il a placé une petite caméra sur un pied, face à moi. Nue comme la vérité, affalée dans le fauteuil, les papattes écartées, j?offrais un spectacle gratuit à la caméra.Le monokini, entretemps, avait disparu et Florence m?apparaissait nue, d?abord sagement puis plus audacieuse. Je ne restais pas en reste et je décidai d?être au moins aussi coquine devant l?objectif. J?étais un peu agacée de voir le cul de son ex et me disais qu?il devait toujours bander en la regardant. Florence est toujours nue, mais plus seule. Manifestement, l?échangisme était connu au bataillon. Quand il m?a dit qu?elle en avait eu marre d?être « offerte », j?ai compris à ce moment. Chaque fois deux ou trois couples, parfois des groupes non équilibrés. Premier coup au c?ur, le prof de gym et sa femme.Deuxième coup au c?ur, Martine R, la jeune prof d?anglais (24 ans au max)Troisième coup au c?ur, un autre collègue et, je suppose, sa femme.La séance partouze se termine doucement. Gérard me promet d?expliquer la suite.Florence a accepté aussi d?être le jouet d?autres activités.Séance après séance, 2 à 3 hommes d?abord, 3 à 4 ensuite. Les gangs bang se succèdent.Gérard me caresse pendant que je regarde, sidérée. Cela continue. Je ne sais pas combien de partenaires différents au total mais on parle en dizaines.Gérard me montre alors une séance spéciale : Florence liée aux quatre coins du lit subit les assauts d?un groupe d?hommes, j?en compte sept. Certains étaient déjà présents dans les partouzes, y compris mes collègues. Il me dit ensuite qu?il voulait recommencer et aller plus loin mais que « Flo » a craqué, hurlé, au point qu?il a dû la libérer. Le divorce est parti de là.Quand il me demande si je suis capable de remplacer Flo, j?ai le vertige.Quand il me dit que les partenaires auxquels il pense sont d?accord, je sais que mon image a été répandue et que l?épisode Benoît n?est pas le pire?La caméra devant moi, enregistrement ou live ?Comment j?ai fait mieux que Florence ?Gérard m?a proposé d?aller au restaurant de notre première sortie, dans la même tenue. Je sentais bien qu?il préparait la grande épreuve. J?ai donc mis mon chemisier noir, parfaitement transparent. J?ai remis mon tailleur en cuir. La jupe s?ouvre de chaque côté par une tirette qui part du bas jusqu?à la hanche, où l?on peut d?ailleurs la décrocher. Une paire de bas, des souliers à hauts talons. Les seins masqués par la veste close et le ventre nu sous la jupe.On arrivé dans le restaurant. Il donne par devant sur une rue, par derrière, via la seconde salle sur une rue « parking ». Nous entrons, il a réservé. La table, prévue pour six convives, est dans la salle du fond, déserte par ailleurs, à l?abri d?un aquarium. Je me dis que le pire est évité, on attend seulement quatre convives?Au moment de m?asseoir, au milieu, côté mur, il m?ordonne de tirer la veste. Ça se complique?Il me dit de remonter les tirettes. Je les monte à moitié, on voit le dessus des bas. Je dois les monter en haut et m?asseoir directement, fesses nues sur la chaise, trouée de trous circulaires. Quand le garçon vient pour voir si nous voulons déjà boire quelque chose, j?essaie de croiser les bras. Un regard pour m?intimer de les écarter. Le garçon regarde ma poitrine sans vergogne.Gérard me prévient que les amis du groupe s?embrassent. Ils arrivent à quatre. Je me lève pour les saluer. Le premier m?embrasse, sa langue me fouille. Je suis un peu surprise d?une telle attaque. Par contre ma tenue n?a pas l?air de l?émouvoir. Le deuxième, lui, tout en m?embrassant, glisse la main sur mes fesses par la fente de la jupe. Le troisième se sent obligé de me pincer un téton. Le quatrième se contente de ma bouche.La discussion à table est tout à fait paisible. Si je n?avais pas la poitrine découverte et si je ne sentais pas l?air sur ma chatte et mon anus, tout serait normal. Au moment du café, Gérard annonce qu?il va partir en avance pour accueillir les autres chez lui. Coup de froid dans mon ventre.Il part. Là je commence à comprendre ce qui m?attend. Une tournante géante. Mon voisin de gauche tire sur mon genou pour l?écarter, celui de droite embraie. Un petit coup de dos de la main sur le pan de la jupe, et j?ai le sexe nu offert à leurs regards.Nous quittons le restaurant par la porte arrière. Ils sont venus dans une seule voiture. Une vieille BMW série 5. Je monte derrière, au milieu.Avant même de démarrer, mon voisin de droite m?embrasse. Profondément, longuement, avec fougue. Des doigts attaquent les boutons du chemisier, d?autres les tirettes. On tire sur mes vêtements. Quand il retire la langue, il ne me reste que les bas et les chaussures. On démarre. Avant la sortie La Hulpe, je suis complètement nue. Mes voisins me font poser les talons sur les dossiers des sièges avant, de part et d?autre des appuie-têtes. Ouverte, offerte aux regards et aux doigts qui fouillent mon vagin. Ils sont décidés à me garder chaude.Nous arrivons chez Gérard. Une voiture est déjà dans l?allée. Ils me prennent par les bras et m?entraînent rapidement. Même pas le temps de voir les autres invités. Je suis dans la chambre. On me lie les poignets joints au dessus de la tête, à la tête de lit. On me plie les jambes avant de lier les genoux aux côtés du lit. La position est inconfortable, je suis ouverte au maximum, à la limite de la douleur. Les chevilles sont à leur tour attachées. On me bande les yeux. On me glisse un traversin sous les reins.J?attends. Une bouche plonge sur ma chatte et lèche. Je ne m?attendais pas à cette entrée en matière.Une verge vient titiller ma bouche. Je la prends et commence à la sucer. Il me baise littéralement la bouche, entrant et sortant comme d?un sexe. Il jouit, j?avale.La bouche se retire, une autre, je suppose, prend la place. Une autre verge se glisse entre mes lèvres.Même fin, même recommencement. Ces langues m?arrachent des cris de plaisir, étouffés par leur queue.Tous y passent. Je suis épuisée, j?ai mal aux mâchoires, j?ai le clito en feu.Le programme continue. Unr queue me pénètre, pilonne, se retire. Une autre, une autre encore.Tous y passent. On me détache les jambes et on me retourne sur le ventre. Je sens que l?on me met une sorte de pommade sur l?anus. Je frémis à l?idée d?être enculée par tous. Heureusement, ils arrêtent après trois assauts. J?entends Gérard qui dit « que les renforts vont arriver ». En attendant, les plus vaillants me prennent à nouveau, en levrette. Je suis semi-comateuse.On me remet sur le dos et bouches et queue se succèdent à nouveau, avant de me baiser à leur tour.Le calme revient. Gérard me détache les poignets et m?ôte le bandeau. Il a un large sourire. « 12, moi compris », dit-il fièrement. « Examen réussi ».Je vais à la salle de bain. J?ai des cernes noirs sous les yeux, ma chatte est collée de sperme et de bave. Mon visage est couvert de traces blanchâtres séchées. Les cordes ont marqué la peau.Je veux prendre une douche, Gérard refuse. Il veut que je garde les traces de la séance jusqu?au lendemain. L?impression de puer le foutre et la mouille.Florence, j?ai réussi où tu as raté?