Mon histoire - Partie 27 - Cauchemard

Mon histoire - Partie 27 - Cauchemard- Non Alain, je t'en supplie, ne lui fait pas de mal !! je ferai ce que tu voudras mais laisse la..- Ta gueule !! tu as gâché ma vie et je ne suis pas prêt d'oublier ce que tu m'as fait . L'heure de ma vengeance a sonné.Je suis attaché , debout, nu, les bras en croix, les jambes écartées dans une vieille grange.A côté de moi, Véro, mon amour est dans la même position.Alain, en chef de bande se tient devant nous entouré de 4 lascars noirs, grands, musclés eux aussi.Je peux voir dans leurs yeux que Véro ne les laisse pas indifférents et qu'ils n'ont qu'une hâte, prendre possession de son corps, d'en user, d'en abuser.Il reprend en s'adressant à moi- D'abord on va s'occuper de toi . Tu vas nous faire plaisir avec ta bouche et ton culEt ils me libèrent de mes liens approchant leurs bites à la main.- Suce et applique toi sinon c'est ta chérie qui prendra le tout.Je suis à genoux , je saisi ces queues qui m'entourent et les prend en bouche pour les faire jouir, espérant qu'ils seront fatigués par mes trous et qu'ils laisseront véro en paix.Je sens une présence derrière moi. C'est Alain qui présente son dard à l'entrée de mon cul.- Je vais t'enculer comme autrefois, mais là, je vais le faire à sec. Tu vas sentir ma grosse bite dans ton trou de salope. Je vais te faire couiner .Je crains le pire . J'ai déjà eu son engin au fond de moi, même bien lubrifié, je le sentais passer.Effectivement, d'une poussée brutale, il introduit son dard . J'ai beau essayer de me détendre, je ressens comme un coup de poignard dans la rondelle qui me fait crier. Ses mains s'abattent sur mes fesses et les font rougir au fur et à mesure de mon enculade.Celui que je suce me prend la tête entre ses deux mains et se sert de ma bouche comme d'un vagin.Il introduit sa queue de plus en plus loin manquant de me faire vomir.Son chibre est de plus en plus imposant, mes mâchoires me font mal à force d'être écartées.Bientôt je sens son sperme inonder ma glotte. Il jouit à jets continus au fond de mon gosier.Quand il se retire, un second prend sa place me faisant subir les mêmes outrages.Alain me besogne toujours , mon trou est en feu.Se sentant sur le point de venir, il décule d'un coup, pousse celui que j'étais entrain de sucer et introduit son sexe sali dans ma bouche pour juter.Un haut le coeur me vient et le contenu de mon estomac s'écoule sur sa bite.Fou de rage, il se retire et me balance des gifles- Nettoie tout salope et avale, dit il en me balançant sa purée..Moité étouffé , les larmes aux yeux, je ne peux que m'exécuter.Tour à tour , les autres complices me prennent le fion, jouisse dans tous mes orifices m'arrachant des cris de douleur.Mon cul dégouline de foutre , mon visage est souillé .Véro est effondrée . Elle pleure en silence faisant couler son rimmel sur ses joues.Leurs premières envies satisfaites, nos k**nappeurs me délaissent.Dans un coin, comme si nous n'existions pas, ils se partagent une bouteille de whisky, rigolant de leurs vannes obscènes. Alain se retourne vers moi, ses yeux brillant d'alcool se font mauvais.- On ta violé d'abord pour que nous puissions faire durer le plaisir avec ta copine. On va la baiser comme une chienne qu'elle est. On va se faire sucer, on va l'enculer et quand on pourra plus bander, on fera venir un cheval pour qu'il la prenne comme un jument.Tu vas voir, elle va hurler, crier , pleure, souffrir , supplier mais à la fin elle aimera ça Si c'est une bonne pute comme je le pense, je la ferai partir pour Dakar . J'ai un bordel là bas et mes potes Sénégalais se régaleront de baiser une blanche pour quelques francs.En entendant ce qui va lui arriver, Véro éclate en sanglots.Il se lève et s'approche d'elle un fouet à la main.- La viande , je l'aime saignante !!!Et il commence à la fouetter. Les premiers coups s'abattent sur ses fesses et son dos.. Elle hurle de douleur et de terreur.Des marques rouges apparaissent aussitôt. Le claquement sec de l'instrument sur sa peau fragile me fait sursauter à chaque fois.Son corps n'est bientôt plus que chair rougie et sanguinolente .Elle s'évanouit mettant ainsi fin à son calvaire.Malheureusement, un seau d'eau glacée balancé à la volée lui fait reprendre ses esprits .Elle est détachée et installée sur un chevalet . Son cul est offert à qui voudra.Alain s'approche et , la tirant par les cheveux, relève sa tête, Sa bouche se retrouve devant le gourdin en érection - Tu vas me sucer sale pute ! Vaincue, Véro ouvre docilement sa bouche et il s'y enfonce goulûment.- Applique toi salope... Sinon ... !!! Devant cette menace, elle s'applique au mieux.Pendant un long moment, il va et il vient , violant sa bouche distendue par l'énormité du mandrin.Sentant son jus monter, il se retire et asperge son visage baigné de larmes de son sperme épais.Il s'approche de moi; et me traîne devant elle.- Tu vas la nettoyer avec ta langue et je ne veux pas qu'il en reste une goutte. T'as pigé ?D'un hochement de tête, je lui fais signe que je vais m'exécuter et commence à laper la semence qui souille son visage.- C'est bien, tu es une bonne lope soumise dit il pour m?humilier davantage.C'est alors que je vois un de ses acolytes rentrer dans la grange tenant un superbe cheval par le licol. L'étalon est nerveux. Il doit avoir l'habitude de ce genre de séances car son sexe pend déjà, en semi érection, entre ses pattes.Il sait qu'il va prendre la pouliche qui lui est offerte.Son museau s'approche de la chatte de Véro. Son sexe réagit et , en un instant, il est en totale forme.Complètement excité , deux gaillards ont maintenant du mal à le retenir.- Pitié, ne faites pas ça, je ferai ce que vous voudrez , murmure Véro.Alain n'en a cure.- Tu vois ce qu'il en coûte de te mettre en travers de mon chemin , me crie t il au visage . Tu vas regarder ta copine te faire saillir..Et il fait signe à ses complices d'approcher le cheval.L'énorme engin de la bête est maintenant tout prêt de s'enfoncer sans ménagement dans les chairs de mon amour.Je crie, je me débats.- Non ! Non ! Ne faîtes pas çà ! Salauds !! Et ... Je me réveille en sursaut en sueur, dans mon lit, dans ma chambre .Véro s'est redressée , inquiète, réveillée par mes cris.- Rendors toi mon chéri, ce n'est rien, tu as fait un cauchemard , tu me raconteras tout demain ...